Paul et Virginie ( Histoire vraie, juste avant le deuxieme confinement)

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 4 ans

Virginie oscillait entre l'excitation et l'appréhension. Après des mois de longues discussions sur le site avec Paul, elle allait enfin recevoir son futur fesseur. Rien que le mot la faisait sourire bêtement et ses joues s'empourpraient. Elle avait la délicieuse sensation de régresser, d'être à nouveau une petite fille confrontée à une autorité masculine, armée d'une main qui pouvait se montrer cuisante. Au volant de sa voiture, elle roulait en direction de la gare. Elle jeta un regard à l'heure; elle était légèrement en retard . Elle espérait que cela ne serait pas mal perçu. Elle ne voulait pas se montrer irrespectueuse. Elle faisait assez de bourdes qui méritaient des punitions cuisantes, pour ne pas en ajouter à la liste. Elle se gara, poussa un juron quand le bip de sa clef s'obstina à ne pas fermer sa voiture. Elle traversa la rue rapidement et entra dans la gare. Ils avaient échanger plusieurs photos durant leurs différents échanges aussi elle le reconnu de suite. Il se leva, il était grand comme il l'avait précisé. Elle s'approcha un sourire un peu stressé sachant que ce qu'elle attendait depuis des mois allait enfin avoir lieu, un sentiment confus l'envahissait. Il s'avança vers elle, son sac de voyage à la main. Elle ne put s'empêcher d'imaginer ce qu'il pouvait contenir d'autre chose que ses vêtements.... -Bonjour, Virginie. -Bonjour. -Je vois que tu regardes mon sac. J'ai amené des petites choses rien que pour toi. Il avait un petit sourire en coin. Virginie sentit une boule se former dans son ventre. -Ah, fut tout se qu'elle arriva à prononcer tant elle se sentit troublée à cette pensée. -Si tu est prête, on peut y aller. Virginie sortit de sa léthargie et ils sortirent de la gare. Une fois à la voiture, le bip refusa à nouveau de remplir la fonction pour lequel il était destiné. -Putain ça me saoule. Virginie s’excite sur le bip et ne voit pas Paul froncer les sourcils. Il n'appréciait pas la grossièreté. Virginie le savait elle allait bientôt en avoir la confirmation. La voiture s'ouvrit enfin et ils prirent place. Virginie démarra. Elle ne pouvait s’empêcher de jeter de petits regards sur les mains de Paul, ces mains qui allaient bientôt lui chauffer le postérieur... -Tu habites loin? -Non, mais il y a des travaux alors on va prendre un autre chemin. C'était un petit mensonge pour la bonne cause. C'était le chemin qui passait par la forêt. Virginie avait repéré un endroit en bordure de forêt où il était possible de faire un petit arrêt... Virginie, la boule au ventre tant d'appréhension que d'un délicieux trouble démarra l'action. -Putain, il avance lui ! -Virginie, je n aime pas t'entendre dire de gros mots. Sans blague !:p -J y peut rien s'il sait pas rouler ! -De un tu baisses d' un ton et de deux, tu surveilles ton langage. Virginie souffla un peu fort. -C'est clair ? -Oui Elle (r)edécouvrit le plaisir de jouer les gamines insolentes et y prit grand plaisir Allez encore un petit dernier pour la route...:) -Mais bouge ton cul !, lança Virginie en s'énervant derrière le volant. -Virginie c’est tes fesses qui vont avoir un problème si tu continues. Le plan se déroulait à merveille. -Mais elle avait dix fois le temps de tourner, et non elle reste là comme une patate ! -Il va falloir te calmer , tu es pressée peut-être ? Bah un peu mon n'veu ! J'ai bien envie de goûter enfin à ce petit plaisir !  - Nan, mais j'aime pas perdre mon temps.

  • Il fait beau, il y a du soleil, profite.  Virginie comptait bien profiter de la journée... Bon, dernier virage avant le route peu empruntée (elle l'espérait grandement) qui longeait la forêt. Il lui fallait encore proférer une ou deux grossièretés avant que son sort ne soit scellé. Mais elle n'avait plus d'automobilistes à insulter... Heureusement, Virginie n'était pas sans ressource.  - Merde, j'ai oublié d'acheter le pain ! Fais chier !
  • Bon, Virginie ça suffit.  Paul semblait avoir perdu son calme légendaire. Ou peut-être avait-il saisit le petite manège de sa conductrice. Il faut dire que Virginie enchaînait les gros mots.  - Bah oui mais ça va être fermé. Et manger du fromage sans pain c'est nul. Putain, je savais que...
  • Arrête-toi.  Il n'avait pas élevé la voix.  - Quoi ?
  • J'ai dit arrête-toi.  Le ton était implacable. Oups, le plan avait marché. Maintenant le stress arrivait au galop.  - Je peux pas m'arrêter, y a rien.
  • Y a pas une voiture, alors tu mets tes warnings et tu t'arrêtes sur le côté.  Virginie déglutit et commença à freiner. Avait-elle bien réfléchit aux conséquences ? La voiture s'immobilisa. Paul ouvrit la portière, descendit et fit le tour de la voiture. Virginie le regarda et fut presque tentée de s'enfermer dans la voiture. Il ouvrit la portiere conductrice.  - Descends.  Virginie resta figée à tenir le volant. Cela semblait plus difficile que dans ses fantasmes. Et si des voitures passaient ? Avec sa chance. Paul lui attrapa doucement le bras.  - Viens par ici.  Virginie sortit de la voiture et se laissa guider sur le bas côté. Elle regarda sans rien dire les mains de Paul déboutonner rapidement son pantalon, le baisser d'un coup, suivi par sa culotte. Ensuite, sans un mot Paul la courba sous son bras et sa main s'abattit sèchement sur ses fesses. Elle eut à peine le temps de sentir l'air froid forestier, ses fesses se mirent à la cuire instantanément. Une petite dizaines de claques plus tard, Paul la redressa et planta son regard dans le sien.  - Je crois que tu sais pourquoi tu l'as reçue celle-là ?  Virginie acquiesça honteuse. Elle avait toujours le pantalon et la culotte baissée.  - Et ce n'était qu'un petit avant goût, ce soir, tu auras le droit à la vraie fessée, cul nu sur mes genoux.  Virginie rougit de plus bel, mélange de crainte et de honte, honte d'être fessée comme une gamine et honte d'y prendre plaisir.  - Maintenant, on va remonter en voiture et tu vas te comporter correctement. C'est clair ?
  • Oui, Paul.
  • Bien, dit-il en reculottant une Virginie à la mine contrite.  Ils repartirent, Paul satisfait de cette pause et Virginie ravie que ses fesses la chauffent enfin
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